Donc généralement je le prends ou je la prends à l'extérieur. Je lui dis Ecoute (je commence sympa) t'es quelqu1 d'intelligent·e, je comprends pas pourquoi tu fais ça. Ca peut se passer différemment. Et ça peut marcher. Ca marche très souvent.
rencontres inconnues — questions improvisées (sauf la 1ère : 'comment est-ce que tu vas?') — et espérer que la magie fasse si bien les choses qu'on arrivera encore à rebondir de nuages en nuages
Donc généralement je le prends ou je la prends à l'extérieur. Je lui dis Ecoute (je commence sympa) t'es quelqu1 d'intelligent·e, je comprends pas pourquoi tu fais ça. Ca peut se passer différemment. Et ça peut marcher. Ca marche très souvent.
Par exemple je pense au cerveau. C'est tout. Je pense à l'écart qu'il y a entre l'image de moi et du monde, comme ça ; et le support de tout ça, qui est mon cerveau. Tu vois. Et juste je me dis Moi je suis aussi ça. Je suis aussi cette espèce de masse, cette espèce de masse informe quoi, c'est au centre de moi. Tu vois ? Ca ça me fait peur. Ca me fait très peur.
Bah s'imaginer quand on est seul·e, comme on le fait quand on est petit·e ; s'imaginer être quelqu1 d'autre. Par exemple s'imaginer être dans 1 lieu autre. C'est super sain à mon avis, de pouvoir multiplier ses personnages, ses égos. Moi j'adore dire que pour avoir 1 égo sain, pour avoir 1 paix avec toi-même ; il faut se démultiplier. Et accepter être d'autres personnes, et d'autres personnages.
Tu vois ce que je veux dir.. Voilà ! C'est exactement ça : tout était poésie, et le coca était prose ; tandis que les shots, tout était prose et les shots étaient poésie. C'était très différent.
1 peau contre 1 peau, c'est 1 peau qui souffre 1 autre peau, c'est des peaux qui s'entresouffrent, et qui d'1 certaine manière aussi, qui s'entrejouissent. Je sais pas, on va risquer le néologisme.